Cartes postales de l'Hôtel PRAT à RENOUVEAU et de l'environnement

RENOUVEAU à LOKTUDI

 

Septembre 1991, je prends la route avec une amie, direction la Bretagne, plus exactement le petit port de Loctudy, que nous ne connaissons ni l’une, ni l’autre. Nous ne connaissons d’ailleurs pas beaucoup plus la Bretagne, à nous l’aventure !

 

Fin d’après-midi, nous approchons du but, nous entrons dans le bourg, un dernier rond-point et voilà le panneau Village Vacances Renouveau.

 

Après avoir laissé la voiture sur le petit parking, et traversé la rue de Langoz, nous poussons le portail, montons quelques marches et nous sommes accueillies par Anne et Laurence, respectivement responsable de l’hébergement et hôtesse d’accueil.

 

Nous récupérons nos clés, le petit ascenseur est là-bas à droite, et si je me souviens bien, nous sommes logées au deuxième étage des Perdrix. Vous ne connaissez pas, c’est le bâtiment principal.

 

Là, nous ne perdons pas de temps à vider la valise, nous aurons le temps plus tard, et filons vers la plage de Langoz, c’est tout droit, la mer est presque haute et mon amie, trop pressée, se retrouve bientôt avec un pantalon trempé … et oui, je te l’avais dit, elle monte !

 

Il fait tout de même un peu frais, c’est l’automne, le ciel est d’un joli gris …

 

Retour rapide au bercail, il nous faut un peu repérer les lieux, ouvrir les valises et changer de pantalon, avant de découvrir la salle à manger, nous la trouvons facilement … quelle bonne odeur !

 

Les serveuses nous accueillent dès l’entrée, nous indiquent les places disponibles, répondent à toutes les questions, vérifient que rien ne manque sur les tables ; elles sont partout à la fois !

 

Nous prenons place à une table où déjà 4 personnes sont installées, et je me trouve face à un vieux monsieur sympathique (et oui, je le trouve vieux, je n’ai encore que 50 ans) qui va nous choyer durant tout le séjour.

 

Ne me demandez pas ce qui nous a été servi, c’est loin, très loin, et même si c’était très bon, désolée, je ne me souviens plus. Ce dont je me souviens par contre, c’est de mon voisin de table, tout souriant, qui entre les plats chante, il chante tout le temps, il met une super ambiance, je crois bien qu’on ne va pas s’ennuyer avec lui !

 

Après dîner, réunion d’accueil dans la salle de spectacle, située au rez-de-chaussée du bâtiment Loch si je me souviens bien, présentation du personnel, dont le plus important, Eric, le cuistot, informations générales, résumé des balades et excursions prévues et pour terminer la soirée, un bon verre de cidre pour trinquer aux vacances.

 

Voilà, ça y est, les vacances ont démarré !

 

Le lendemain, dès le petit déjeuner avalé – baguette fraîche tartinée de beurre ½ sel ou doux au choix, vrai café, les distributeurs n’ont pas encore été inventés, direction l’atelier « pâte à sel » dirigé par Michèle. C’est super sympa à modeler… mais gare au retour, ça pèse un peu lourd dans la valise. Ensuite, petite balade à travers le bourg et c’est déjà l’heure du déjeuner.

 

L’après-midi, première balade, désolée, je ne sais plus vers quel endroit mais ce qui est chouette, c’est que nous avons avec nous deux retraités, des retraités qui ont dû avoir peur de s’ennuyer et sont devenus bénévoles à Renouveau. C’est comme cela que tous les ans, ils arrivent, l’un de la banlieue parisienne, l’autre de Normandie, avec armes et bagages, et pendant 2 semaines, en juin et en septembre, ils emmènent les vacanciers visiter le Finistère.

 

Jean connaît tous les chemins, tous les sentiers, les vieilles chapelles comme les criées, et nous entraîne pour de grandes marches. Quant à Louisette, elle nous a mitonné de superbes excursions en car et nous emmène à la découverte des enclos paroissiaux, ou d’une biscuiterie d’où nous ressortirons avec quelques douceurs dans nos sacs.

 

Comme ils ont magnifiquement préparé leurs séjours, ils connaissent tout de la région, sont très bien documentés et chaque sortie est une découverte.

 

Lorsque nous rentrons de Locronan, ou de la Pointe de la Torche, de Quimper ou de la Baie des Trépassés, Eric nous attend en salle à manger afin de nous initier à la réalisation du gâteau breton ou de la blanquette de Saint Jacques, ses recettes à lui, et c’est génial.

 

Voilà comment se passent mes premières vacances au Renouveau de Loktudi (à présent je suis un tout petit peu Bigoudène, et je sais l’écrire).

 

Depuis, je suis revenue pratiquement chaque année, j’ai retrouvé avec plaisir Anne et Laurence, Eric, les serveuses Monique, Catherine puis Laurie, puis de nouvelles chaque année, nos femmes de ménage Christine et Marie-Pierre qui ont ensuite remplacé Anne, ou intégré le service de salle à manger.

 

Nos deux animateurs retraités ont fait « une belle carrière » mais ont fini par laisser la place.

 

Côté animations, j’ai oublié les prénoms bien sûr, certains sont restés plusieurs années, d’autres n’ont fait qu’une saison.

 

Ce soir, nous rentrons de balade, il ne fait pas très chaud, et une agréable odeur de krampouz nous chatouille les narines dès le portail. Une crêpière s’est installée à l’accueil, avec ses 2 billigs et son tour de main, elle a vite fait de contenter les petites faims de fin d’après-midi pendant que le barman sert le cidre qui va avec. Très bonne initiative de nos animateurs !

 

Au fil du temps, j’ai occupé d’autres chambres, celles de Loch ou Penfret, mais celle que j’ai habité le plus souvent se trouvait au 4ème étage, des Perdrix, à l’entrée du couloir et côté mer. Elle était toute petite, d’ailleurs on l’appelait familièrement « le placard à balai » mais j’y étais bien.

 

Une activité un peu spéciale nous avait été proposée au moment du passage à l’an 2000. Tout le monde se souvient de la tempête de décembre 1999 !

 

Après avoir passé la journée à tenter d’avoir des infos sur le train que nous devions prendre le lendemain, nous avons tenté notre chance sommes parties pour la Gare Montparnasse. LA PANIQUE !

 

Oh certes, il y avait des trains à quai, mais dans aucun les places ne portaient les bons numéros, les voyageurs, tout comme les employés d’ailleurs, partaient dans tous les sens, aucune indication, il fallait vraiment avoir envie de partir, alors nous nous sommes fiées au numéro du train, avons trouvé place pour nous et nos bagages et avons eu la chance de voyager assises, ce qui ne fut pas le cas de tout le monde. Le voyage a duré à peu près 3h30 ou 4 heures de plus que prévu, autour de nous, les champs étaient inondés jusqu’à hauteur de la voie ferrée, arbres arrachés, arrêts imprévus, bref, c’était loin Quimper mais nous avons fini par arriver et par retrouver Anne et Laurence, nous avons récupéré nos clés, ouf !

 

Avant de passer en salle à manger, nous avons eu l’occasion de bavarder avec de nouveaux arrivants et c’est là que nous avons rencontré un ami de la nature et des oiseaux, un vacancier qui a proposé de participer au sauvetage des oiseaux marins mazoutés … en plus de la tempête il y avait eu le naufrage de l’Erika !

 

Tout a été très vite organisé, les équipes constituées, et direction la Maison de la Baie d’Audierne où étaient amenés les oiseaux récupérés sur les plages et les falaises.

 

C’était ça Renouveau, le dîner était prêt, la soirée organisée et puis vlan, trois paroles, faut s’bouger, on en parle à François, Directeur du village et tout s’organise en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Eric remplit des bouteillons de soupes, emballe la viande froide, compose le repas et nous voilà partis dans le minibus, partis vers l’horreur des oiseaux mazoutés, affamés, incapables de bouger … voilà une animation pas ordinaire mais qui nous a occupés, par équipe, toute la semaine. C’était crevant, mais passionnant … amusant aussi de voir les grimaces des vacanciers lorsque nous rentrions et passions devant la salle à manger, pas très propres et puant le poisson et le mazout … merci Renouveau pour cette expérience.

 

Pour le passage à l’an 2000, c’est le réveillon bien sûr, la salle à manger a pris son air de fête, les tables disposées autrement, certains vacanciers ne retrouvent pas leur place habituelle et rouspètent un peu. Mais le succulent repas préparé par Eric a vite fait de faire revenir le sourire, je me souviens d’un filet de Saint Pierre … et entre chaque plat, le groupe d’animateurs ne chôme pas. Ils nous ont concocté une rétrospective du siècle en chansons, avec danses et costumes adéquats bien sûr. Un excellent moment, devant une bonne table, avec des gens sympas, que demander de plus. Après l’omelette norvégienne (Eric, il en reste ?) direction la salle de spectacle pour la soirée dansante et le champagne.

 

Nous ne sommes pas très soirée dansante, alors nous restons, ma fille et moi et donnons un coup de mains aux serveuses. Il est bientôt minuit et il faut tout remettre en place pour le 1er petit déjeuner de l’an 2000. Et ma foi, nous passons un excellent moment et terminons bien l’année.

 

Pour célébrer le 14 juillet, super bonne idée (mais quel boulot) les tables sont installées dehors, un petit orchestre est prêt à intervenir et là, quelque chose que nous ne mangeons pas tous les jours, le cochon grillé … avant de filer au port admirer le feu d’artifice.

 

C’est l’automne, les vacances de la Toussaint, Halloween, les 2 animateurs ne sont pas en panne de blagues et celle-ci était quand même pas mal : ils proposent une sortie en mer, de nuit, aller jusqu’à l’île Chevalier. Un petit groupe courageux part donc à l’aventure mais surprise, au moment de reprendre le bateau, celui-ci a disparu, l’aurait-on volé, a-t’il dérivé, mystère d’Halloween ! retour, à pied, de nuit, c’est long, surtout pour ceux qui avaient laissé leurs chaussures dans le bateau ! Mais, il n’y a jamais de problèmes à Renouveau, seulement des solutions, le second animateur arrive avec le minibus et ramène tout le monde au bercail … et le lendemain matin, surprise, le bateau est au port ; il a miraculeusement trouvé le chemin tout seul, ou les korrigans nous l’ont-ils ramené, puisqu’il se dit qu’elle est hantée, cette île ?

 

Cette fois, c’est le réveillon de Noël que nous passons là. Avant l’arrivée, il a été demandé à chacun d’apporter un cadeau, oh, il ne s’agit pas de faire de folies, un petit cadeau dans les 5 francs (oui, il y a déjà longtemps), tous les petits paquets sont déposés dans une grande corbeille, et au dessert, François, aidé de 2 ou 3 gamins, distribue un petit paquet à chacun. Ça, c’est super sympa, la surprise est totale et on peut, comme ça, recevoir un guide des sentiers bretons, un gros coquillage dans lequel on n’entend même pas la mer, une savonnette parfumée ou un petit pot de miel. L’idée est très bonne, je trouve.

 

Je ne me souviens plus en quelle année, nous étions là, en même temps que 2 classes transplantées, des gamins de 8 ou 9 ans, sympas comme tout, qui n’avaient jamais vu une « Demoiselle de Loktudi » et ne savaient pas par quel bout la prendre pour la décortiquer ; même problèmes avec les moules d’ailleurs, ils venaient je crois de Savoie. Et jolie surprise, à la fin du repas de midi, le 1er mai ; ils sont passés à toutes les tables, accompagnés de François, notre Directeur, pour offrir un brin de muguet aux dames.

 

Au cours de ces vacances passées à Renouveau, j’ai vu quelques changements, changement de public d’abord. Oh, il y a toujours les irréductibles qui se retrouvent, qui occupent de grandes tables ; mais les nouveaux sont plus individualistes. Il y a plutôt des tables pour 2 ou 4 personnes, les grands plats ont laissé la place à un « service à l’assiette », nettement moins convivial d’ailleurs. Plus personne ne prend la peine de réunir les assiettes en bout de table, histoire d’aider un peu les serveuses. Plus personne de débarrasse en fin de repas, ce n’est pourtant pas très difficile d’empiler les assiettes, rassembler les couverts, rapprocher les verres et la carafe d’eau … cela faisait partie des vacances. Et moi qui ai connu des « Renouveau » où nous devions remettre le couvert pour le second service n’apprécie pas trop cette nouveauté. C’était pourtant sympa cette coutume, une occasion supplémentaire de se parler, de blaguer.

 

Parfois, quelques autochtones s’invitaient à un repas, Margot et sa coiffe faisait grosse impression sur les enfants.

 

Mais le temps passe à une vitesse, nous sommes maintenant en 2017 et sommes là pour passer un Noël de plus, en pleine période de grande marée et de tempête. Un spectacle fantastique, des vagues énormes, des coups de vent à ne pas tenir debout, mais, qu’est-ce-que c’est beau. Ah, les vitres du centre nautique sont nettoyées, vite fait, bien fait par les vagues qui ne craignent pas de traverser la rue, mais je m’éloigne de mon sujet, je suis là pour vous parler de Renouveau.

 

Lors de mes dernières vacances à Renouveau, j’ai bien senti qu’il allait se passer quelque chose. D’abord, François, notre Directeur, avait pris une retraite bien méritée. C’était le Directeur de Beg Meil maintenant qui avait la charge des deux villages. J’étais, comme toujours logée dans « mon placard à balais », au 4ème étage, et force était de constater que l’entretien du bâtiment laissait à désirer. Il fallait souvent essayer d’éviter les flaques d’eau pour atteindre l’ascenseur, les vitres du palier étant fendues, l’isolation avait disparu au fil du temps.

 

Oui, il se passait bien quelque chose : Renouveau ne prendrait plus de vacanciers ; d’ailleurs sur la dernière photo que j’ai vue, l’Hôtel de la Plage devenu Renouveau n’est plus qu’un amas de gravats.

 

Mes amis loctudistes, ayant eu la mauvaise idée de croiser la route de l’Ankou, je ne reviendrai pas à Loktudi. Kenavo !

 

Courrier de Madame Guerrier, une amie fidèle de Renouveau

Les animations et la vie à RENOUVEAU


Maison et entreprise LUCAS

 

1975-01 : vente de la maison de Mme Marie-Jeanne LUCAS et des bâtiments et terrains de l'entreprise Pierre LUCAS (son fils)  à RENOUVEAU

1979 : vente de la maison de Pierre LUCAS à RENOUVEAU

 

 

 

 

 

 

Ci-contre :

la maison de Mme Marie-Jeanne LUCAS et la nouvelle maison de son fils, Pierre LUCAS - Juillet 1928

 

 

 

 


Hommage aux pompiers : la rue Guy-Le Garrec inaugurée

 

 

 

Le 9 avril 1965, un violent incendie ravageait, dans la nuit, les locaux de l'entreprise générale du bâtiment Lucas, à Loctudy. Guy Le Garrec, sapeur-pompier du centre d'incendie et de secours de Pont-l'Abbé, y trouva tragiquement la mort. Il avait 34 ans, marié et père de trois jeunes enfants. 40 ans après, jour pour jour, la Ville a voulu lui rendre hommage, en donnant son nom à une rue.

L'inauguration s'est déroulée en présence de tous les sapeurs-pompiers de Pont-l'Abbé.

 

La longue rue qui s'étend du carrefour du Séquer à celui de Kérouant, porte désormais le nom de Guy Le Garrec. L'inauguration a eu lieu samedi, devant les sapeurs-pompiers, réunis au grand complet, les élus et en présence de la famille de Guy Garrec.

 

«A tous les soldats du feu»

 

La cérémonie était émouvante. Dans le silence impressionnant de la rue barrée à la circulation pour l'occasion, Mme Le Garrec a dévoilé la plaque. D'anciens pompiers, mais pas seulement, se souvenaient de Guy Le Garrec et de ce drame qui avait endeuillé le pays. «Si nous sommes rassemblés aujourd'hui, c'est pour rendre hommage au sapeur-pompier Guy Le Garrec qui a perdu la vie, alors qu'il remplissait sa mission exemplaire. Cet hommage, j'ai voulu qu'il soit celui de la commune aux soldats du feu», devait dire Thierry Mavic, le maire, avant de relater les circonstances du drame, puis de parler de l'engagement au quotidien des sapeurs pompiers, «ces sauveteurs, ces veilleurs du bien public qui dans l'anonymat, mobilisent toute leur énergie au service des autres». C'est sur une proposition du maire, que le conseil municipal a décidé d'attribuer le nom de Guy Le Garrec à une rue de la cité. Mme Le Garrec et ses enfants, avouent qu'ils ne s'attendaient pas à cet hommage qui leur a fait chaud au coeur, même s'il a fait ressurgir des souvenirs douloureux.

 

Trois jours après l'incendie de la rue V.-Hugo

 

Cet hommage rendu, 40 ans après la disparition de Guy Le Garrec, intervenait aussi trois jours après l'incendie qui a ravagé, jeudi, une maison de la rue Victor-Hugo et l'âpre lutte menée dans la fournaise, par les pompiers de Pont-l'Abbé pour éviter que le feu ne se propage aux maisons mitoyennes et au quartier tout entier. «C'était très dangereux. Heureusement qu'il faisait jour...»

 

Le Télégramme 11 avril 2005

 

Les années 60 sont marquées par un drame : Le 9 avril 1965, un incendie ravage l’entreprise générale de bâtiment Lucas Père et Fils. Devant l’ampleur du sinistre, les Sapeurs-Pompiers de Loctudy appellent en renfort les centres de secours de Pont-l’Abbé, Plonéour-Lanvern et Quimper, pour tenter de préserver les maisons voisines de l’entreprise, située sur la route de Langoz.

 

Lors de ce terrible Incendie, Le Sapeur Guy Le Garrec, du Centre de Secours de Pont-l’Abbé fut mortellement blessé à la tête par la chute du fronton couronnant l’entrée des ateliers. Le nom d’une rue de Pont-l’abbé honore aujourd’hui ce Sapeur « mort au feu ».

 

Site de Loctudy – Historique de la caserne des pompiers

 

 

 

 

 

 

État des lieux 2021-12-04

Début du chantier

Les bâtiments 2022-02-02

La suite et fin de la démolition 2022-02-08

Merci aux photographes - Patrick Boi, Serge Chénedé, Patrick Chever,...et tous les autres qui nous ont transmis leurs photos


Zinovi Pechkoff

 

 

Entre 1930 et 1936, lors de plusieurs séjours entrecoupés de commandements au Maroc, il joue un rôle important au Levant notamment en intervenant auprès de groupes chiites du Gabal ‘Amil (actuel Liban-Sud). À cette époque, il rencontre sa deuxième épouse, Jacqueline Delaunay-Belleville, veuve d'un diplomate, mais ce mariage, comme le précédent, est rapidement dissous.

Extrait de :

https://www.wikiwand.com/fr/Zinovi_Pechkoff

Photo Paris Match